Claude Lyr

Josée Leybaert a la flamme. On pourrait dire est une flamme. Tout être humain devrait l’être, c’est le sens de la vie, c’est le secret de l’évolution. L’artiste est un être de choix : il se donne mais il se garde.
Josée Leybaert a élu le langage de la gravure pour être le sien. Qu’a-t-elle à dire ? Le sait-elle, elle-même ? On écoute les voix intérieures, celles aussi de la vie qui nous entoure, qui change et se colore à chaque aurore de nouveaux espoirs et de nouvelles aspirations.
Qu’est-ce que l’histoire de l’humanité sinon la conquête de la liberté bien spécifique comme le verre, dure comme l’acier.
(…) C’est un monde, en tout cas, bien à elle. Voilà le principe et l’essentiel d’une œuvre qui prend son essor dans cette pensée ardente qui va s’intensifier, se préciser, s’affirmer au cours de la vie. C’est de plus un film en couleur.
Le passionnant voyage, que nous ferons avec elle et ses compagnons de route, car Josée Leybaert fait partie de cette génération communautaire qui a compris que la civilisation de l’an 2000 sera un madrépore et que l’artiste ne s’y trouvera plus seul.

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